Expérience Mondiale

Le projet de relance de la filière ananas en Guinée dénommé REFILA, financé par l’UE à hauteur de 5 millions d’Euros, s’inscrit dans un vaste programme d’appui à la compétitivité des pays de l’Afrique de l’Ouest et à son intégration dans les systèmes de commerce régionaux et internationaux. Il a pour ambition d’ériger la filière ananas à un des leviers de compétitivité de la Guinée pour une croissance économique inclusive et durable à travers : (i) l’amélioration de la performance de la filière en favorisant sa croissance et en stimulant sa contribution à l’industrie, au commerce régional, à l’exportation et à la création d’emplois ; et (ii) l’amélioration du climat des affaires en Guinée grâce à l’intégration et l’appropriation des politiques régionales en matière de compétitivité. Les principaux objectifs de cette évaluation à mi-parcours ont été de fournir aux services de l'Union européenne concernés, aux parties prenantes intéressées et au grand public une analyse indépendante globale de la performance du REFILA, en accordant une attention particulière à ses différents niveaux de résultats en comparaison avec ses résultats attendus initialement.

Rodrigues est une île de l'océan Indien faisant partie du territoire de la République de Maurice. La vision de l'Assemblée régionale de Rodrigues (RRA) est de transformer Rodrigues en la première île écologique et durable de l'océan Indien d'ici 2030. Cette vision est axée sur la promotion du développement durable à travers trois piliers clés : les secteurs économique, environnemental et social. L'objectif est de favoriser le développement de l'île tout en améliorant la qualité de vie globale de tous les résidents.

La stratégie développée dans le Plan directeur pour réaliser cette vision implique l'utilisation durable des ressources et la mise en œuvre de pratiques dans divers secteurs, notamment la production et la distribution durables de l'eau, la bioagriculture, le tourisme durable, l'économie bleue, les énergies renouvelables, l'efficacité énergétique et la durabilité. aménagement du territoire. Le Plan directeur propose une stratégie à long terme globale, réaliste et claire couvrant la période 2023-2033 pour répondre aux trois principales préoccupations du développement durable : la durabilité environnementale, la durabilité économique et la durabilité sociale.

Pour ces services de conseil, CYE Consult a géré trois experts seniors couvrant chacun des secteurs suivants : Eau, Aspects socio-économiques et Bio-agriculture.

Cette évaluation porte sur 14 projets regroupés par 5 domaines de résultats. Chaque projet a été évalué en fonction des 5 critères du CAD, à savoir: la pertinence, l'efficience, l'efficacité, la durabilité et les premiers signes d'impact, et d'autres critères transversaux. L'objectif global du programme était d'augmenter les revenus et de réduire l'insécurité alimentaire en soutenant la croissance économique. L’objectif spécifique du programme était de renforcer les moyens de subsistance, la nutrition et la résilience des agro-éleveurs et éleveurs, des agriculteurs, des pêcheurs et d’autres ménages vulnérables.

Le projet BAFS (financé par le 11e Fonds européen de développement) a fait partie d'une approche sectorielle promouvant le développement agricole, la sécurité alimentaire et la résilience en Sierra Leone, renforçant les capacités pour formuler et mettre en œuvre des politiques agricoles et de résilience et promouvant les chaînes de valeur les plus prometteuses tout en assurant la l'inclusion des groupes marginaux de la population rurale dans une telle approche selon les priorités du programme de développement national. L'objectif de l'évaluation à mi-parcours était de fournir au gouvernement de la Sierra Leone et à l'Union européenne une évaluation indépendante et fiable de la performance du projet, fondée sur des constats des réalisations, de leur qualité et de l'impact des résultats du projet et de ses activités dans le contexte d'une évolution de la coopération et sa contribution à la mise en œuvre des ODD. La mission d'évaluation a également été en mesure d'identifier les principales leçons apprises, et de formular des conclusions et recommandations afin d'améliorer la mise en œuvre pour la période opérationnelle restante du projet.

Les principales priorités de la mission d'évaluation ont été mises en évidence dans les TdR, notamment liées aux critères d'évaluation spécifiques ajoutés aux critères habituels du CAD. Comme demandé, l'évaluation s'est concentrée sur l'évaluation des réalisations, de la qualité et des résultats des projets KCEP-CRAL et IPP-GAP en mettant de plus en plus l'accent sur les approches axées sur les résultats et la contribution à la mise en œuvre des ODD. La logique d'intervention et la théorie du changement pertinente ont été décrites au cours de la phase de démarrage pour guider l'élaboration des questions d'évaluation finales et permettre une meilleure compréhension des relations entre les actions et les résultats. Des enseignements et des conclusions factuelles ont été tirés, ainsi que des recommandations relatives à l'amélioration du projet KCEP-CRAL en cours et à la conception de futures actions, en particulier en ce qui concerne la cohérence avec les politiques européennes et nationales et la coordination avec d'autres partenaires de développement.

L'objectif global de l'appel à propositions a été d'améliorer la pertinence, la disponibilité et la durabilité des services agricoles, et d'exploiter le potentiel commercial des produits alimentaires locaux. Les objectifs spécifiques étaient (a) de soutenir les connexions agricoles axées sur la communauté et les services de conseil, en fournissant un soutien plus efficace à la décision des entreprises agricoles et rurales en promouvant les liens avec le marché, l'agriculture résiliente au climat et les bonnes pratiques agricoles, et (b) renforcer la capacité de la société civile, des cercles d'entrepreneurs et des associations professionnelles pour lancer diverses initiatives visant à promouvoir un climat d'investissement positif vers les systèmes agroalimentaires locaux et l'économie régionale en Azerbaïdjan, y compris des campagnes de sensibilisation. La portée des services fournis a compris l'assistance à la DUE dans l'évaluation technique et financière des notes conceptuelles (CN) et de la version finale des demandes de subvention (FA) ; l'exécution d'un processus de sélection de projets de haute qualité, complet et cohérent, conformément aux critères définis dans les lignes directrices pour les demandeurs de subventions. Les évaluateurs externes ont présenté leurs recommandations au Comité d'évaluation à Bakou lors de deux déplacements successifs.

L'objectif de cette mission de conseil a été d’assister la Délégation de l'Union européenne et le gouvernement de la Sierra Leone dans l'identification et la formulation d'actions de l'UE pour soutenir l'agriculture et le développement rural en Sierra Leone dans le cadre de la deuxième phase du 11e FED (2018-2020). Ces actions devraient contribuer à libérer le potentiel agricole et à accroître l'accès des ruraux aux marchés en Sierra Leone, et contribuer par la suite au développement d'un secteur agricole diversifié et commercial qui favorise une croissance économique verte inclusive.

Le projet AIESRP a eu pour objectif l'amélioration de la compétitivité et de l'intégration économique nationale et internationale du Paraguay par l'appui à trois chaînes de production (production porcine, aviaire et les produits laitiers). L'évaluation finale du project a démarré en Fevrier 2018 avec une première phase de documentation, suivie par una phase de terrain au Paraguay, et finalement une phase de synthèse qui inclut l'élaboration du rapport final. CYE a élaboré la méthodologie en respectant les Termes de Référence et les orientations méthodologiques de l'UE. Pendant la phase de terrain ont été contactés les principaux acteurs institutionnels ainsi que des nombreux bénéficiaires du projet par moyen de visites et de l'organisation de groupes focaux. La mission a été complétée en Mai 2018 par l'approbation du rapport final.     


 

La prestation a été réalisée par une équipe de deux experts.  La mission a consisté en un appui ponctuel à l’ON afin de mettre en place les conditions pour un démarrage effectif des actions envisagées en Gestion indirecte par le MEPD. L’objectif général de la mission était ainsi formulé : "contribuer à l'opérationnalisation de la CF du projet SAN 11ème FED". L’objectif spécifique était "assurer une mise en œuvre rapide, effective et efficace des activités de démarrage du Programme SAN, à travers des appuis à la Coordination Nationale et aux composantes sectorielles en matière de renforcement des capacités et de gestion-administration". Deux résultats étaient attendus : i) l'élaboration de documents prêts pour la publication/signature, ii) la mise en condition du personnel des parties prenantes. Les Termes de référence de l’intervention ont mis l'accent sur les notions de "coaching", de "faire-faire" et d' "apprentissage sur le tas" tout en prévoyant une approche mixte incluant en complément la formation à caractère formel, telle que la formation aux procédures FED.

La convention de financement du Programme d’Amélioration de la Productivité Agricole au Cameroun-PAPA (FED/2010/021-465) a été signée le 16/02/2011 et sa mise en œuvre effective s’est clôturée par un atelier final de capitalisation tenu en novembre 2017. L’objectif du PAPA était d’améliorer le revenu des exploitations familiales agropastorales du Septentrion par des réseaux professionnels plus performants, par l’utilisation durable des ressources foncières et de production et par un soutien aux cultures de café et de cacao dans la zone méridionale en vue d’une plus grande sécurité alimentaire au Cameroun. D’un montant global de 20 000 000 €, le programme a été mis en œuvre à travers trois composantes, comportant elles-mêmes un nombre significatif de résultats et d’activités.

La mission d’évaluation a démarré au Cameroun par une première réunion de cadrage à la DUE et à la CAON. Après la phase de démarrage et la phase documentaire, s’est déroulé la phase de terrain pendant deux semaines. L’objectif de cette phase était de rencontrer les principales parties prenantes et bénéficiaires du PAPA et visiter un maximum de réalisations physiques dans les Régions d’intervention. Un accent particulier a été apporté aux effets induits par le programme et à la viabilité potentielle des réalisations. L’équipe de consultants s’est scindée en trois afin de pouvoir couvrir les trois composantes du PAPA. Une restitution provisoire des résultats de la mission s’est tenue au retour du terrain et l’atelier de restitution et de dissémination final a eu lieu à Yaoundé. Le processus de rédaction et de finalisation du rapport s’est ensuite mis en œuvre afin d’y intégrer les remarques pertinentes des principales parties prenantes.

• La définition d'un cadre stratégique d'intervention régissant les projets qui seront développés au titre d'une deuxième tranche d'interventions FF visant le renforcement de la résilience et du développement des opportunités d'emploi des populations concernées dans des contextes de crise, de transition et de post crise, en particulier dans les zones périphériques, frontalières et transfrontalières de l'espace géographique concerné.

• L'identification d'un ensemble de projets à financer au titre d'une deuxième tranche d'interventions du Fonds Fiduciaire; il s'agira d'actions déjà existantes ou rapidement mobilisables , qui relèvent du cadre stratégique d'intervention défini et répondent à des critères standards repris dans un modèle de fiche-projet à établir par la mission.

Depuis 2004, le Ministère de l'Agriculture et des Ressources Animales (MINAGRI) du Rwanda a élaboré et mis en œuvre trois plans stratégiques consécutifs pour la transformation agricole au Rwanda (PSTA-1, PSTA-2, PSTA-3), tous visant à harmoniser le développement du secteur agricole avec la Stratégie nationale de développement économique et de réduction de la pauvreté et la vision de développement à long terme (Vision 2020) respectivement. Le PSTA-3 a mis particulièrement l'accent sur l'intensification durable de la production alimentaire pour assurer les réductions envisagées de la pauvreté rurale et de la malnutrition, et sur une plus grande implication du secteur privé pour accroître les exportations agricoles, la transformation et la valeur ajoutée de ces produits.

La revue à mi-parcours visait à identifier les principales lacunes et les enseignements tirés de la mise en œuvre du PSTA III comme base des améliorations/ajustements proposés pour atteindre les objectifs du PSTA III à la date du 30 juin 2018. L'assistance téchnique à fourni des informations pour le court terme (PSTA -III) et la planification à moyen terme (PSTA IV), à fin de tirer pleinement parti des leçons apprises des expériences passées. Pour cette mission, CYE Consult a fourni le chef d'équipe pour un total de 72 jours ouvrables.

• Une évaluation indépendante globale de la performance passée et actuelles des programmes financés par l'UE et mis en oeuvre par la FAO, en accordant une attention particulière aux résultats des différents projets par rapport aux objectifs et à l'impact attendu 
• Des leçons à tirer et recommandations afin d'améliorer les actions actuelles et futures en partenariat avec la FAO. 

• Elaboration d'une analyse des écarts de compétences 
• Développement d'un programme complet de formation
• Organisation et animation de nombreuses séances de formation avec tous les acteurs concernés 

• Systématisation d'expériences
• Développpement d'une caractérisation régionale de la sécurité alimentaire
• Conception d'un système d'information sur la sécurité alimentaire et nutritionelle à niveau municipal 

 L’objectif du contrat a été de contribuer à l’amélioration de la pertinence, l’efficience, l’efficacité, l’impact, l’appropriation et la durabilité de l’aide au développement (fonds FED) en République du Congo., à travers l’appui aux services de l’Ordonnateur National (ON) du FED. Cet objectif se situe dans le cadre de la préparation des nouveaux cadres de programmation et développement à moyen et long terme du pays (y compris la planification budgétaire), le renforcement de la transparence et bonne gouvernance dans la gestion des ressources du pays, y compris l'aide publique au développement, et le développement inclusif, durable et plus particulièrement le développement rural.

En ce qui concerne le développement rural, les prestations ont inclus des missions d’assistance technique de moyen terme, comprenant plusieurs experts dans les domaines suivants :

· Eau et l’assainissement rural. Collecte de données de base portant sur les systèmes existants d’eau potable, drainage et assainissement liquide et solide dans 4 départements, dans le but de caractériser les disparités entre départements ruraux du Congo et d’orienter le choix de départements objets des futures interventions.

· Analyse territoriale de l’ensemble des régions du pays, dans le but d’établir une image actuelle des territoires congolais, de leurs potentiels et des dynamiques (organisation des territoires et spécificités démographiques et géographiques, cadre de vie de la population, santé et éducation, infrastructures, moyens de communication et transports, activités économiques, pauvreté, potentiels et enfin dynamiques locales). Le Système d'information ou SIG a permis la création d'une base de données numériques qui a intégré toutes les composantes spatiales de l'étude et a permis non seulement de traiter l'information dans sa composante spatiale, mais également de générer les résultats de ces traitements et analyses sous forme de fichiers numériques, de graphiques ou encore de documents cartographiques.

Gouvernance forestière. L’objectif a été d’améliorer la gouvernance forestière en République du Congo. Le champ d’action de la mission a consisté à aider les services de l’ON et de la DUE pour la formulation du programme de gouvernance forestière dans le Programme Indicatif National du 11ème FED, et cela en rencontrant les parties prenantes, en définissant le contenu des composantes du futur programme, les modalités de mise en œuvre et les bénéficiaires potentiels, en analysant leur capacité et la faisabilité des interventions. 

CYE, leader du consortium, a fourni les services des experts suivants :

• Expert résident, ayant une ample expérience dans la gestion des programmes FED, directement basé au siège de l’ON.
• Experts spécialistes dans le domaine de l’eau et l’assainissement rural
• Experts en dynamique territoriale (géographes, experts en SIG)
• Expert forestier
• Experts en communication, chargés d’assister pour la mise en service du site web de la DPUE et de la mise en œuvre d’autres actions de visibilité auprès de public en général.
• Backstopping et gestion technique et administrative tout le long du contrat de services.

Activités principales:

• Capitaliser l’expérience des projets Food Facility mis en œuvre en Guinée et dégager les composantes à améliorer ou consolider.
• Formuler la Fiche d’Action et les Dispositions Techniques et Administratives du futur Programme de Sécurité Alimentaire.

• Evaluation de l'avancement du programme
• Évaluation des progrès concernant l'augmentation de la production agricole, la sécurité alimentaire et le développement des chaînes de valeur
• Compilation des leçons qui peuvent être tirées pour les programmes futurs en matière d'agriculture et de développement d'infrastructures rurales

• Evaluation de la pertinence, l'efficience, l'efficacité, l'impact, la durabilité et les questions transversales du programme SURUDEC
• Evaluation des synergies et la coopération entre SURUDEC et le Programme de développement économique local
• Fournir des recommandations pour améliorer la performance du programme SURUDEC dans la réalisation de ses principaux résultats et d'améliorer la viabilité à long terme du programme

•  Conseils au sujet des actions stratégiques pour consolider la table ronde  avec  les différents agents étatiques impliqués dans le domaine alimentaire et nutritionnelle
•  Développement d'un plan de travail cohérent avec la politique nationale 
• Actualisation de la feuille de suivi des actions de la coopération internationale dans le domaine de la sécurité alimentaire 

• Évaluation finale de la pertinence, l'efficacité, l'efficience, la durabilité, l'impact, la valeur ajoutée de l'UE et la cohérence du Programme
• Vérification, analyse et évaluation de l'intégration et l'impact des questions transversales dans le projet
• Visites de terrain et réunions avec les différents acteurs participants au  programme

• Assistance technique et appui pour le suivi et la mise en œuvre des projets de la Facilité Alimentaire au Burkina Faso
• Organisation d'ateliers
• Renforcement de la coordination, cohérence ,  et  complémentarité des projets de la Facilité Alimentaire, afin d' assurer une meilleure capitalisation de leurs résultats.

• Soutenir et accompagner la fermeture du projet 
• Optimiser les dernières activités
• Tirer les leçons pour soutenir les activités après la fin du projet

Le gouvernement du Maroc considère que les routes de désenclavement jouent un rôle essentiel dans la stratégie de développement social et économique du monde rural, car elles facilitent l'accès de la population rurale aux services sociaux de base, facilitent les échanges économiques et contribuent à valoriser les ressources locales.

L’objectif spécifique de l’assistance technique est d’identifier et de formuler le programme d'appui de la Commission européenne aux politiques de désenclavement rural au Royaume du Maroc.

La mission se déroule en deux phases distinctes : la première visant à identifier les scénarios possibles et les modalités de mise en œuvre du programme de la CE concernant le désenclavement des populations isolées : infrastructures routières sociales. La deuxième phase ayant pour objectif la formulation proprement dite du programme ainsi que la validation des documents techniques.

Les infrastructures liées au secteur de la santé publique ont été sérieusement endommagées par la guerre civile.
Afin d’y remédier le gouvernement du Mozambique a adopté une stratégie pour réhabiliter les infrastructures existantes et restaurer leur fonctionnalité.

L’objectif de l’assistance technique est de fournir un appui au département infrastructures du Ministère de la Santé afin d’assurer une mise en œuvre efficace et un suivi des travaux qui ont été financés par la CE.

Les activités principales:

• Evaluation et approbation préliminaire des projets détaillés concernant les dessins d’ingénierie et l’analyse économique et financière
• Mise en œuvre des projets approuvés et coordination de la préparation des documents d’appel d’offre conformément aux procédures FED
• Planification et suivi de la mise en œuvre des contrats

Le but du programme IDAF (Développement institutionnel du secteur agro-alimentaire) est d’encourager et de faciliter un environnement institutionnel permettant le développement de la chaîne de valeur dans le secteur agro-alimentaire grâce au développement des capacités institutionnelles des acteurs publics et privés dans un cadre conceptuel cohérent.

L’objectif global de la mission est d’aider à déterminer les priorités en matière d’investissements dans le secteur agro-alimentaire par le biais d’une analyse de la chaîne de valeurs de 8 produits sélectionnés ainsi que l’identification d’actions clefs pour améliorer la chaîne de valeurs et l’environnement général de l’agro-business au Malawi.

L’objectif global du “SLPP” est de contribuer à la réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire dans les zones rurales par le biais de l’augmentation du taux de croissance du PIB de l’élevage en augmentant le revenu provenant de l’élevage des petits propriétaires (en espèce et en nature) de manière durable et équitable entre les hommes et les femmes.

L’objectif de la mission est d’évaluer le degré d’exécution et les progrès du programme et de déterminer si le projet atteindra ses objectifs.

L’objectif général du programme “FIDP” est d’atteindre, via la diversification des revenus fermiers, l’amélioration du niveau de vie des communautés rurales. Il vise à amener les petits fermiers propriétaires à considérer l’agriculture comme un business plutôt qu’un moyen de subsistance tout en conservant et en améliorant les ressources naturelles de base dont dépend la production. Au travers d’une approche intégrée, le programme promeut: l’usage durable du sol et des ressources en eau; une diversification et une intensification de la production agricole; le renforcement des organisations de fermiers et le marketing des produits.

L’objectif général de la mission était de réaliser l’évaluation à mi-parcours du programme FIDP. Les consultants ont aussi fourni des recommandations pour la conception d’une deuxième phase potentielle, en ce compris l’examen des modalités possibles, de la conformité avec la déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide ainsi que de l’intégration proactive de thèmes transversaux.

L’objectif global du Programme est d’améliorer la qualité de vie des communautés rurales des provinces de Loja et Zamora-Chinchipe en soutenant le renforcement local des capacités dans le but d’obtenir une gestion coordonnée entre les institutions co-exécutantes et en tirant avantage des capacités et activités existantes au travers de projets d’infrastructure sociale basique, d’irrigation, d’environnement, de production et d’éducation.

Composantes du programme:

• Infrastructure sociale (eau potable, assainissement, écoles, etc.).
• Infrastructures agricoles de production: plans d’irrigation, sécurité alimentaire des petits producteurs, soutien au développement du secteur du café.
• Environnement et gestion durable des ressources en eau à travers une approche intégrée des bassins hydrologiques.

Montrant la situation actuelle, le documentaire présente les raisons qui ont conduit à développer ce projet et fait ressortir la problématique spécifique du contexte frontalier local ainsi que les interrelations des acteurs dominicains et haïtiens. Le résultat final consiste dans la production d’un DVD de 25 minutes en espagnol avec des sous-titres français et divers éléments didactiques tels que des cartes, des graphiques, des plans et l’animation virtuelle du futur marché de Dajabón afin de faciliter la diffusion des messages.

Il s’agit d’un programme dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des communautés rurales défavorisées situées le long de la frontière avec Haïti. Le PMR2 finance et effectue la supervision de la mise en œuvre et ensuite de la mise en service des différentes initiatives et projets, qui incluent des dispensaires, des écoles, des aqueducs et des systèmes d’assainissement. Au total, 70 projets ont été exécutés pour un total de 15 millions d’euros environ.

Le nouveau marché municipal de Dajabón s’étend sur une superficie couverte de 11.600 m2 en deux niveaux, avec structure métallique. En plus des zones commerciales, sa construction prévoit des zones de service et d’administration. Le bâtiment de douane, sur deux niveaux aussi, présente une superficie totale de 2.000 m2. Le projet inclut une composante de renforcement institutionnel de la Municipalité de Dajabón.

STABEX est un schéma financier de compensation dont le but est la stabilisation des revenus des exportations des pays ACP. Les fonds STABEX, fournis par le FED, ont été pour la plupart engagés dans l’amélioration de l’infrastructure de production et commercialisation (notamment centres de réception, systèmes d’irrigation, voies d’accès). Les programmes SFA, mis en œuvre ultérieurement, sont spécifiquement orientés vers la problématique des producteurs bananiers, en améliorant la productivité des établissements et en fournissant assistance à la diversification agricole.

Programme dont l’objectif est de promouvoir et développer la coopération opérationnelle, scientifique et technique, entre les pays de la région en matière de protection phytosanitaire des végétaux. Cette coopération doit se traduire par l’élaboration et la mise en œuvre d’une stratégie régionale de protection des cultures grâce à la création d’un réseau “protection des végétaux de l’Océan Indien”, l’harmonisation régionale des législations phytosanitaires, aux contrôles de qualité (matériels végétaux et produits phytopharmaceutiques), à la recherche appliquée à l’expérimentation des produits phytopharmaceutiques et aux méthodes alternatives de lutte ainsi qu’à l’appui conseil et la formation.

PROBANANO est un programme co-financé par la CE (FED) avec un apport de 1.650.000 EUR. Son but est d’améliorer la compétitivité du secteur bananier exportateur de la République Dominicaine. Le groupe cible est constitué par 713 producteurs sur un total de 5.000 hectares de bananiers.

Il s’agit de la seconde phase d’un projet destiné à améliorer les conditions de vie d’une population de 64.500 habitants appartenant à des communautés rurales défavorisées du bassin du fleuve Paute. Le projet se propose de faciliter l’accès de ces communautés aux services publics de base, d’augmenter leur capacité de création de ressources, de réduire leur vulnérabilité face aux risques hydrogéologiques et de créer une Agence de Bassin. Le coût total du projet a été estimé à 14 millions d’euros dont 11 millions sont d’origine européenne.